Je me
faisais récemment la remarque suivante : si dans l'Islam la
condition essentielle pour être sûr
de rejoindre le paradis est le statut de martyr, c'est-à-dire
celui qui donne sa vie pour répandre la doctrine musulmane, il est
permis de penser qu'au contraire, celui qui, en perdant la vie,
freine cette expansion, voire lui fait perdre de son influence, est
promis aux flammes éternelles de l'enfer.
Or on peut
se poser la question suivante : un “martyr” qui provoque un
attentat suicide et se fait sauter en même temps qu'une dizaine
d’infidèles fait-il réellement avancer la cause de sa religion?
Je serais tenté d'affirmer que la mauvaise publicité qui en découle
pour l'Islam, à savoir
une religion de violence et de sang, braque chaque fois un peu plus
les mécréants en les dégoûtant des préceptes introduits par
Mahomet, et incite même des musulmans modérés à
quitter cette doctrine (en risquant de ce fait la mort au passage...)
pour se désolidariser d'un acte aussi extrême.
Je suis
ainsi prêt à parier que
la barbarie d'un tel acte est plus préjudiciable à
l'Islam qu'il ne lui est bénéfique. Dès
lors comment douter qu'un terroriste musulman soit damné pour
l’éternité, contrairement à
ce qu'il croit?
De même, le
musulman pacifique et avec le cœur sur la main, incapable de faire
de mal à une mouche
n'est-il pas, et de loin, un meilleur ambassadeur pour sa religion?
Je gage qu'un sage doux et patient sera par son exemple la cause de bien plus de
conversions qu'un forcené hystérique, et, suivant la logique même de l'Islam, devrait bénéficier de ce fait
d'une meilleure « situation » dans l'au-delà.
A méditer...
* * *
Sur un tout
autre sujet maintenant : je suis récemment tombé sur cet article
signé entre autres par l'inénarrable Rokhaya Diallo dans lequel
elle affirme : “Nous
n'avons ni l'intention de nous "intégrer" ni celle de nous
"assimiler" à un pays qui est déjà le nôtre.”
L'affaire
est claire : Madame Diallo se comporte comme un conquérant, un
colon. Elle se fiche éperdument du fait que le pays dans lequel elle
et ses semblables se sont installés est riche de plus de mille cinq
cents ans d'histoire, ce qui oblige chaque nouvelle génération à
respecter le patrimoine forgé par les générations qui l'ont
précédée et dont elle a hérité. A ses yeux, comme à
celui des immigrationnistes, la France est l’équivalent de ce que
furent les États-Unis ; une nation sans passé construite par les
nouveaux arrivants. C'est précisément le contraire absolu de ce
qu'est réellement la France.
Madame
Diallo n'exprime que du mépris à
l'encontre des français de souche, ceux qui vivent sur ce territoire
depuis des générations. Si un blanc osait émettre la même idée
que Madame Diallo à
propos d'un pays d'Afrique, on entendrait les associations
tiers-mondistes hurler à
l'esprit “néocolonialiste”, mais dans ce cas-là
, non, tout est normal...
Rokhaya
Diallo n'est ni plus ni moins que le symbole de ce qui constitue le
colonialisme du vingt-et-unième
siècle : la volonté de conquête de l'Occident par un Tiers-monde
revanchard qui refuse de se remettre en question et qui ne veut pas
voir qu'il est lui-même responsable de la plupart des maux qui le
mine.
Cette
entreprise de colonisation s'effectue d'ailleurs, ce qui n'est pas le
moins grave, avec la bénédiction de nos élites, de nos
représentants. La traîtrise a encore de beaux jours devant elle...
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