Misogynie à part, comme disait l'immortel (bien que non membre de l'Institut) Brassens, qui se cache derrière ces lignes ?
La femme connaît bien ma plus grande faiblesse,
Et sait qu’à son contact je m’épanche sans cesse,
Mais l’homme aimerait tant qu'à ce fait singulier
L'on me trouvât pluriel, bien plus que singulier…
Français, pour écrire en alexandrins, poète du 19e s? Bon, il aimait les femmes, mais n'avait pas l'air opposé à l'idée qu'un homme aille avec un autre homme (pas un catho virulent donc), cela dit il ne dit pas qu'il consommait lui-même, il a même l'air de dire le contraire (ok, donc ce n'est pas Rimbaud-Verlaine :p). Plutôt bel homme, ou du moins ayant du charme... Bon, pas d'idée comme ça, s'il faut donner un nom, disons Musset (j'ai pensé un instant à Isidore, mais je ne crois pas qu'il avait du succès avec les femmes :p)
RépondreSupprimerHé hé, je crois qu'en effet le grand Lautréamont était peu intéressé par la gent féminine (il était comme son vieil océan, plutôt célibataire), mais là n'est pas le problème car il se trouve que c'est un mot ou une notion qu'il faut deviner derrière ce quatrain, et non un personnage même.
RépondreSupprimerPetit indice : il y a un rapport avec l'argent...