Chers lecteurs,
alors que l’année 2011 s’achève comme elle avait commencé,
c'est-à-dire dans
l'euphorie dégénérée des buveurs de mauvais alcool qui iront
souiller de leurs chaudes vomissures les allées ombragées du Champ
de Mars remplies pour l'occasion de tessons de bouteilles et de gaz
lacrymogènes, permettez moi, tandis que l’abbé Timonde, affalée
à mes côtés,
reste hypnotisé par le spectacle des danseuses du Crazy Horse sur
Arte, de vous souhaiter à
tous et à toutes, qui
avez eu l'immense joie de découvrir ce blog complètement
con étrange il y a quelques mois de cela, une merveilleuse
année 2012.
Avant de vous quitter, et bien que je m'investisse assez peu dans
l'humanitaire d'habitude, laissez-moi toutefois vous parler d'une
cause douloureuse qui me tient particulièrement à
cœur, je veux bien entendu parler du sort réservé à
mes admiratrices éperdues.
En effet combien de jeunes et jolies femmes de par le monde
s'accrochent désespérément à
mes articles, au moment même où
ils paraissent, en sachant pertinemment que la chance de voir un jour
en chair et en os l'auteur de ce blog, c'est-à-dire
le seul et unique évêque Sécrable
est à peu près nulle ?
Combien de ces demoiselles charmantes aux courbes affolantes aussi
bien qu'affriolantes, aux corps pleins de grâce exhalant un parfum
capiteux de fleurs sauvages se morfondent dans la solitude alors
qu'elles rêvent de s'offrir à
cet être inconnu qui les fait soupirer jour et nuit...
A toutes ces âmes dans la tourmente je dis : les filles,
patientez ! Un jour peut-être nos chemins se croiseront, ainsi
que nos regards langoureux. Nos lèvres se toucheront et nos corps ne
feront plus qu'un. Vous partagerez une part d’intimité avec
l’idole dont votre existence ne peut plus, dorénavant, se passer,
vous ferez enfin partie de mon harem privé et pour
peu que vous m'envoyiez une photo de vous avec les mensurations
adéquates je vous le répète : mesdemoiselles, mes chères
amies, gardez espoir... !
En attendant je vous dis à
très bientôt !
PS : que ce soit bien clair entre nous, ces derniers paragraphes
s'adressent uniquement à
mes lecteurs de sexe féminin, hein, je précise au cas où...
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