Il y a
quelques siècles de cela, lorsqu'un peuple prenait possession d'un
nouveau territoire, en général par la force, il imposait le plus
souvent sa religion aux autochtones qui étaient ainsi fortement
incités à se convertir, ou à disparaître. C'est ce qui explique
notamment l'implantation de l'Islam en Afrique du Nord, par le biais
de la conquête arabe lancée au septième siècle, et du
catholicisme en Amérique du Sud, diffusé par les conquérants
espagnols et portugais (ainsi que de la « musique » des
Spice Girls partout dans le monde par les colons anglais car, ces
derniers n'ayant pas d’âme comme l'attestent leurs goûts
culinaires, il leur a bien fallu se trouver une spiritualité de
substitution...).
Que se
passe-t-il aujourd'hui, dans notre France si moderne et si
progressiste ? Et bien tout simplement le même phénomène,
mais adapté à notre époque : ainsi dans certains quartiers
dits « populaires » (expression cosmétique utilisée par
les journaliste dhimmis compétents pour ne pas
parler de terrains phagocytés par la sacro-sainte diversité même
si tout le monde le comprend ainsi), les minorités blanches qui y
résident encore, souvent faute de moyens pour s'en échapper, sont
obligées, sous la pression sociale de leurs voisins si empressés de
venir leur apporter les richesses de leur culture, de se convertir
s'ils ne veulent plus être les victimes d'une forme d’apartheid
local, agressif et officieux qui ne dit pas son nom.
La logique
et la nature des chose voudraient en fait que les migrants, ces
nouveaux venus sur le sol français, se départissent de leurs cultures d'origine, voire même de leurs religions, pour embrasser plus
efficacement la culture occidentale et se fondre ainsi plus aisément
dans la masse, dans l'optique de ne pas poser de problèmes ou de ne pas gêner la population locale. C'est du moins ce qu'exigerait un pays hôte digne de
ce nom, fier de son patrimoine et soucieux de le protéger, mais par
le formidable effet d'une grande politique sociétale dite de
« baisse du pantalon et d’écartement des cuisses », et
pratiquée aussi bien par la gauche que par la droite, c'est l'effet
exactement inverse qui se produit : les indigènes ayant la
chance de vivre au contact rapproché de la diversité se doivent de
changer et d'adopter des mœurs exotiques.
L'exemple de
la cellule djihadiste récemment démantelée et dont certains
membres étaient des français d'origine en est un bel exemple.
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