Cela se
passe en Italie. Le nouveau ministre de l'intégration, madame Cécile
Kyengé, fait la une des journaux en raison des attaques subies depuis quelques jours par cette dernière du fait de son pays d'origine, la République
Démocratique du Congo, et de sa couleur de peau. A première vue
cette affaire est véritablement choquante pour la malheureuse, et la
vidéo ci-dessous, nous présentant implicitement cette dame comme le
Martin Luther King en jupon de l'Italie, le pays qui a inventé le
fascisme (faut-il encore vous le rappeler ?), est à même de
faire fondre les cœurs les plus secs, il faut bien l'avouer...
Cependant,
lorsque l'on considère cette histoire de plus près, on se rend
compte que madame Kyengé n'est peut-être pas aussi immaculée que
cela. Ainsi ce ministre a déclaré que sa priorité était de
changer son pays d'accueil en réformant notamment le code de la
citoyenneté italienne afin que le droit du sol soit promulgué à la place du droit du sang (elle ne doit pas connaître la situation
française véritablement catastrophique). Madame Kyengé désire en
outre abroger le délit d'immigration clandestine (attention,
mesdames et messieurs, opération « Italie, portes ouvertes » :
grande braderie, tout doit disparaître!) et rendre le marché du
travail italien plus accessible aux étrangers.
Je vous le
donne Émile, comme disait Coluche, Cécile Kyengé agit avec une
mentalité de colon. Au lieu de remercier ce pays magnifique,
l'Italie, pour l'avoir accueillie dans sa jeunesse alors qu'elle
fuyait une vie sans doute difficile en Afrique, elle n'a aucune honte
à déclarer vouloir le transformer à son image. Cécile Kyengé ne
travaille pas pour les Italiens mais pour sa communauté. Cécile
Kyengé insulte et trahit tous ceux qui lui ont tendu la main afin de
lui offrir un avenir meilleur. Cécile Kyengé poignarde ses hôtes
dans le dos.
Alors quand
une personne aussi minable est victime de ce genre d'attaques, pour certaines plutôt odieuses, il faut le reconnaître, permettez-moi de ne pas compatir et de partir d'un grand éclat de
rire de mépris...
Petite remarque au passage : « la gauche » se dit en italien « la sinistra ». Je trouve cela absolument savoureux...
*****
Petite remarque au passage : « la gauche » se dit en italien « la sinistra ». Je trouve cela absolument savoureux...
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Deuxième
petite remarque : quand, dans un film destiné à un grand public, un occidental (ou un blanc) part vivre au sein d'une peuplade dont les
coutumes et les traditions sont très éloignées des siennes, on le voit
généralement s'assimiler à cette population, au point de la défendre
contre les dangers représentés par ses anciens frères d'arme. Les
films « Danse avec les loups » et « Avatar »
en sont deux exemples éloquents. Je suis sans doute naïf, mais
j'aurais attendu de la part de madame Kyengé le même comportement
vis-à-vis de son nouveau pays (d'autant plus que je vois mal Kevin
Costner exhorter ses amis indiens à s'ouvrir davantage aux pionniers
américains...).
On doit bien etre au moins 2 sur l' immense Net , à avoir compris l' extreme dangerosité de cette clandée de malheur bombardée ministre par l' ONU ...non seulement pour l' Italie ( où je réside ) mais pour toute l' Europe ....
RépondreSupprimerMerci ...je me sens moins seule !!!
Rassurez-vous, nous sommes bien plus de deux à ressentir du dégoût pour cette opportuniste voulant défigurer son pays d'accueil, et ce malgré l'image consensuelle la montrant en ange de gentillesse et d'innocence martyrisée par d'odieux racistes. J'ai toutefois évoqué cette affaire avec une amie italienne, une femme charmante et adorable au demeurant, et celle-ci m'a affirmé qu'elle était ravie de voir cette femme nommée ministre, espérant qu'avec elle l'Italie évoluerait vers davantage de justice et d'égalité. Inutile de vous dire que cette déclaration m'a bien attristé...
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